Le Flex office est imposé à l’occasion de chacun des projets immobiliers. Coeur de défense, sky, bridge… La configuration des espaces, les surfaces prévues, le mobilier, tout est conçu en open space avec des postes non attribués. Aucun choix n’est laissé aux salariés. Or ceux-ci sont très majoritairement hostiles au flex, y compris les jeunes. Et toutes les études en montrent la nocivité pour les salariés, avec les difficultés pour se concentrer, le dilution du collectif de travail, etc. Stéphane Richard avait lui-même déclaré lors d’un Cnhsct qu’il n’y était pas favorable. Il semblerait que les objectifs « d’optimisation immobilière » – entendons baisse des coûts – soient plus déterminents qu’une quelconque considération humaine.
Le dogme du flex office s’impose
- 15 juin 2019
- Actualités / L'environnement de travail
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